
Imaginez une voix, une odeur, une chaleur, un souffle, vous sentez-vous proche de cette pièce ?
Établissez un lien personnel avec elle.
Car sa véritable histoire ne nous appartient pas.
C’est une pièce énigmatique, à la fois habitée et abandonnée.
Néanmoins, il y a plusieurs dimensions cachées.
Le rideau, une présence entrante et sortante par le vent.
Portant avec lui des rondeurs maternelles.
Puis, il y a le piano muet, reflétant le léger tissu — il est dysfonctionnant.
Une histoire intime suggérée par le visible et le non-visible.
Établissez un lien personnel avec elle.
Car sa véritable histoire ne nous appartient pas.
C’est une pièce énigmatique, à la fois habitée et abandonnée.
Néanmoins, il y a plusieurs dimensions cachées.
Le rideau, une présence entrante et sortante par le vent.
Portant avec lui des rondeurs maternelles.
Puis, il y a le piano muet, reflétant le léger tissu — il est dysfonctionnant.
Une histoire intime suggérée par le visible et le non-visible.
Ema Ringue Chardin est née à Nancy et habite aujourd’hui à Metz.
Sensibilisée en audiovisuel et à la performance à l’ÉSAL de Metz (2019-2025) et aux Beaux-Arts de Marseille (2022-2023), elle développe un intérêt pour les espaces et leurs injonctions. Ses premiers terrains de recherches étant les institutions hospitalières – par sa mutation génétique – elle commença par expérimenter ses manières d’habiter ses corps et le monde. Par la poïétique de la rencontre, elle part en quête de vivre dans un monde en constante évolution, en corrélation avec notre distance empathique qui nous fait nous replacer et nous déplacer ici et maintenant. Co-fondatrice du collectif Liminal 4, elle agit avec le corps du collectif dans des évènements hapax – qu’on ne vit qu’une fois car qui n’a pas de précédent ni de répétition – en y suggérant des présences : exclues, invisibles, en évolutions… Ces dialogues, questionnent notre écoute envers l'inattendu et induisent des gestes ainsi que des postures sensibles auprès de l’invisible.
Sensibilisée en audiovisuel et à la performance à l’ÉSAL de Metz (2019-2025) et aux Beaux-Arts de Marseille (2022-2023), elle développe un intérêt pour les espaces et leurs injonctions. Ses premiers terrains de recherches étant les institutions hospitalières – par sa mutation génétique – elle commença par expérimenter ses manières d’habiter ses corps et le monde. Par la poïétique de la rencontre, elle part en quête de vivre dans un monde en constante évolution, en corrélation avec notre distance empathique qui nous fait nous replacer et nous déplacer ici et maintenant. Co-fondatrice du collectif Liminal 4, elle agit avec le corps du collectif dans des évènements hapax – qu’on ne vit qu’une fois car qui n’a pas de précédent ni de répétition – en y suggérant des présences : exclues, invisibles, en évolutions… Ces dialogues, questionnent notre écoute envers l'inattendu et induisent des gestes ainsi que des postures sensibles auprès de l’invisible.